Qu'est-ce qu'on mange ce soir ?
- 28/06/2025
Tu l’as déjà pensé (au moins) 452 fois depuis le début de l’été. Et chaque fois, cette petite phrase anodine vient avec un combo détonant : charge mentale, fatigue, imprévu, enfants qui râlent et frigo semi vide. L’été, on est souvent avec les enfants à la maison midi et soir, les repas se transforment en véritable casse-tête logistique.
Et si on osait le dire franchement ? Ce n’est pas tant de cuisiner qui est difficile à gérer… c’est le fait de devoir réfléchir, choisir les repas, faire la liste de courses, alors que ton cerveau est déjà surchargé par le reste du quotidien. Cette accumulation de micro-décisions finit par épuiser.
Le véritable épuisement : décider en boucle
On parle souvent de la charge mentale comme si elle était floue. Mais elle est très concrète. Elle se glisse dans ces moments où tu te tiens devant le frigo, à 18h47, en te demandant si tu peux transformer deux courgettes, un reste de riz et un yaourt en repas de famille. (Spoiler : non.)
Ce qui épuise, ce n’est pas de cuisiner. C’est de décider tous les jours, dans l’urgence, sans visibilité. C’est de devoir résoudre une équation émotionnelle et logistique : qui aime quoi, qu’est-ce qu’on a, est-ce que ça rassasie, est-ce que j’ai le temps ?
Et le pire ? C’est que souvent on le fait en solo, sans relève, sans pause. Juste par automatisme. Parce que « il faut bien nourrir tout ce petit monde ».
Planifier, ce n’est pas se rajouter une corvée : c’est s’en libérer
La planification des repas a parfois mauvaise image. On imagine un tableau rigide, des recettes figées, un truc de mère parfaite ou alors ça rappelle la cantine et ses mauvais souvenirs. Mais non. Ici, on parle de planification douce : celle qui te permet de décider une fois, pour t’alléger tous les autres jours.
Faire un menu, même approximatif, pour 3 jours ou une semaine, c’est une façon de dire : « je prends soin de moi, de ma maison et de ma famille, sans m’oublier dans le processus ».
C’est un outil qui permet :
- de faire les courses avec clarté, sans tourner 3 fois dans les rayons
- de réduire le stress du « on mange quoi ? » qui plane à chaque fin de journée
- de varier intelligemment sans se prendre la tête
- de réduire les gaspillages
Et surtout, c’est un choix qui te rend le pouvoir. Tu ne subis plus le frigo. Tu reprends les commandes de ton énergie.
Planifier, ce n’est pas se rajouter une corvée : c’est s’en libérer
La planification des repas a parfois mauvaise image. On imagine un tableau rigide, des recettes figées, un truc de mère parfaite ou alors ça rappelle la cantine et ses mauvais souvenirs. Mais non. Ici, on parle de planification douce : celle qui te permet de décider une fois, pour t’alléger tous les autres jours.
Faire un menu, même approximatif, pour 3 jours ou une semaine, c’est une façon de dire : « je prends soin de moi, de ma maison et de ma famille, sans m’oublier dans le processus ».
C’est un outil qui permet :
- de faire les courses avec clarté, sans tourner 3 fois dans les rayons
- de réduire le stress du « on mange quoi ? » qui plane à chaque fin de journée
- de varier intelligemment sans se prendre la tête
- de réduire les gaspillages
Et surtout, c’est un choix qui te rend le pouvoir. Tu ne subis plus le frigo. Tu reprends les commandes de ton énergie.
Allez, on récapitule
Alors si tu veux tester, commence simple : note tes idées seulement pour les 3 prochains jours – c’est largement suffisant pour souffler un peu — et voir si ça te soulage. Et rien n’est figé dans le marbre : si un soir tu n’as pas envie de suivre le menu, pas de souci. L’objectif, c’est de t’alléger, pas de t’emprisonner. Mais avoir des suggestions déjà prêtes, ça aide !
En fait planifier, ce n’est pas chercher la perfection. C’est juste faire un peu de place dans ta tête… pour pouvoir penser à autre chose que “qu’est-ce qu’on mange ce soir ?” 🍽️
Et pour te faciliter la vie, je t’ai préparé un menu vierge à imprimer avec une liste de courses. Tu peux les télécharger en cliquant ici.
Débo – Reset Your Home
